mercredi 15 décembre 2010

République sous la neige






Vous vous attendiez un message à caractère politique. Un édito à l'Apathie, une analyse à la Duhamel, une interview façon Elkabach (pardon pour l'orthographe des noms) ?

Ben non !
désolé
(pas aujourd'hui ... du moins*)

La neige est revenue cet après midi, envelopper de son blanc manteau la PLACE de la République (et la ville qui l'entoure).



*D'ailleurs je ne sais même pas si j'en suis capable.
PS : la photo date de la première chute, il y a un quinzaine de jours. Constatez l'étonnante fluidité du trafic ... (rien à voir avec aujourd'hui)

vendredi 10 décembre 2010

Bon anniversaire ...

... à mon grand frère, qui change de dizaine aujourd'hui.
Bienvenue chez les quadras.

mardi 7 décembre 2010

La réponse du berger à la bergère


J'aime bien Maxime Le Forestier, ou plutôt j'aime bien ses chansons. J'aime bien également les dernières tournées qu'il a faites et dont le principe serait du genre "le chanteur et sa guitare" parce que il y a un chanteur (lui) et un guitariste (lui ... aussi), avec quelque fois un guitariste et/ou un choriste en plus, mais ça reste très sobre. L'inverse de Johnny si vous préférez. J'aime bien cette forme de concert très dépouillée. Bruel a repris le concept sur sa dernière tournée.

Lors de la fête de la musique de cette année, j'ai retrouvé avec plaisir, dans le calme (et le froid) de la rue du Palais, deux guitaristes que j'avais découverts à la précédente (fuyant les boum-boum de la musique faite à la presse hydraulique comme dirait Gerra). Deux artistes, des vrais, deux chanteurs et leurs guitares. Un très bon moment que seule la perspective de la journée de travail du lendemain (et non le froid) s'est permise d'interrompre. Au passage, merci messieurs (je n'ai pas retenu vos prénoms) pour ce moment et félicitations pour votre talent. Au 21 juin prochain j'espère.

Pour en revenir à nos moutons, Maxime Le Forestier m'a permis de découvrir Georges Brassens. Notamment en reprenant une à une la (quasi) totalité de ses chansons dans son cahier. voire même, en y répondant ...